Jane a 21 ans. Hyperconnectée, elle vit au présent entre jobs d’hôtesse et menus larcins, boîtes et soirées branchées, ses amants d’une nuit et ses deux colocataires. Rien n’existe que par sa volonté; ses actes dessinent les contours du monde.
Un soir, le hasard la jette malgré elle sur les traces de son père, qu’elle n’a jamais connu. Est-il cette pop star disparue des écrans ? Ce guitariste punk passé à côté de sa vie? Ou ce solitaire retiré de la compagnie des hommes?
Jane se prend au jeu des vérités parfois contradictoires tandis que son environnement se détraque. La violence du réel, son humanité aussi, s’engouffrent dans les brèches à mesure qu’elle perd le contrôle.
Après Le livre que je ne voulais pas écrire, Erwan Larher invente à nouveau une langue pour questionner l’humain et le monde. […] Une langue qui pulse, moderne et vivante, imprévisible car en invention permanente. […] Et, au travers de ses deux magnifiques personnages de Jane et de Jo – qui jusqu’au bout conservera une part de son mystère -, il réussit à creuser en profondeur des mondes intimes, ce que seule peut tenter de faire la littérature. (L’or des livres)
Une façon novatrice de revisiter la question du père et des origines. Et de saisir en même temps, avec un incroyable effet de réel, la marche contradictoire du monde. (L’Humanité)
Il fonde une langue d’une modernité qui n’est jamais singée mais qui, au contraire, révèle des trésors pour la littérature. Littérature qu’Erwan Larher vivifie, comme il revigore ceux qui le lisent. (Le Matricule des Anges)
Erwan Larher livre ici un roman d’une composition à la fois complexe et limpide mais surtout porté par une écriture pleine d’éclats, de beauté. (Viduité)
Je n’ai pas décroché de ce roman.
Bien souvent, il m’en a mis plein la gueule. Je crois que j’en avais besoin.
J’ai poursuivi le fugitif intensément aux côtés de Jane.
Et son histoire a pris la densité d’un souvenir. (Nicolas Houguet, L’Albatros)
Jane, la jeune héroïne solaire du roman d’Erwan Larher, ne te laissera en aucun cas la quitter avant la dernière page. (Marianne Loing, Librairie Charybde)
Une langue vive qui mêle humour et punch, modernité et sensibilité pour poser en toile de fond un regard critique et attentif sur notre société. Ce roman percutant de 366 pages se dévore d’une traite (Pro/P(r)ose)
Le signe qu’on s’attache aux personnages, donc au livre qu’on tient entre ses mains, c’est qu’on est prêt à mordre sur le temps de sommeil ou procrastiner sur tout le reste pour avancer dans l’histoire. (L’avis textuel de Marie M.)
C’est tonique, rythmé, bourré d’énergie. Un poil désabusé mais du genre qui n’a pas envie de lâcher l’affaire aussi facilement. Souvent drôle, parfois caustique ou carrément désespéré. Et ça résonne sacrément.
Un conseil : ne fuyez pas avant de l’avoir lu (ou bien partez avec). (Mots pour mots)
« L’écriture percutante d’Erwan Larher nous emporte dès les premières lignes. Des phrases courtes, des mots qui claquent, lâchés comme dans un souffle coupé par la course infernale de la vie. » (MarionBooks&Travels)